Yoann Richomme, qui se rapproche de Charlie Dalin d’heure en heure, a montré une détermination remarquable. Dimanche 15 décembre, à 7 heures, il était à 82 milles nautiques du leader, alors qu’il évoluait à près de 200 nm du Havrais la veille.
Charlie Dalin, le leader, sait que les moindres milles comptent. Il a dû faire un gros zig-zag dans le Sud pour se repositionner et récupérer le vent de nord-ouest. En 2020, il avait échoué à seulement 2h31 de Yannick Bestaven en 80 jours. Maintenant, il sait que la course est longue et que chaque décision compte.
Encore plus loin dans le classement, certains navigateurs sont confrontés à des problèmes. Alan Roura (Hublot, 20e) a demandé vivement une fin à ces difficultés, même s’il n’a pas connu de casse importante sur son bateau.
Damien Seguin (Groupe Apicil, 17e), blessé lors d’une réparation la veille, est à la recherche d’une accalmie pour soigner son bateau. Malgré tout, seuls deux des 40 marins engagés ont dû abandonner, un chiffre bas à ce stade de l’épreuve.
Le Vendée Globe est une course où chaque décision, chaque seconde compte. Les skippeurs doivent faire face à des conditions météorologiques changeantes et des défis de tous genres.
Malgré tout, le combat continue, et les skippeurs restent déterminés à atteindre leur but. Le Vendée Globe est une épreuve qui met à l’épreuve la détermination et la force des skippeurs.