Dans le cadre de l’économie luxembourgeoise, les activités financières non bancaires ont montré une importance significative. Au cours des trois premiers trimestres de 2024, ces services ont contribué à hauteur de 11,6% du produit intérieur brut (PIB) du pays. Cette contribution a été soulignée par Gilles Roth, ministre des Finances, dans une réponse parlementaire basée sur des données fournies par la Commission de surveillance du secteur financier. Les fluctuations récentes montrent que ce domaine représente entre 11% et 14,7% du PIB au cours des cinq dernières années, reflétant sa stabilité relative.
Au cœur de l’automne doré, le Luxembourg a démontré une fois de plus son rôle crucial dans le monde des finances non bancaires. Dans un rapport récent, il est indiqué que les entités non bancaires, comme les assurances, les fonds d’investissement et les sociétés captives, ont généré une valeur ajoutée brute de 11,6% du PIB luxembourgeois durant les trois premiers trimestres de 2024. Ces chiffres sont issus des estimations de la Commission de surveillance du secteur financier, relayées par le ministre des Finances, Gilles Roth.
Les données historiques montrent que la part de ces activités a varié entre 11% et 14,7% au cours des cinq dernières années, avec un pic en 2021. La Banque centrale européenne avait déjà signalé en 2019 que les actifs gérés dans ce domaine s’élevaient à 14 000 milliards d’euros. Ce secteur inclut également des holdings et des sociétés de financement internes aux multinationales, ainsi que des fonds d’investissement, qui jouent un rôle majeur dans l’économie luxembourgeoise.
En conclusion, cette analyse révèle l’importance croissante du secteur financier non bancaire au Luxembourg, qui continue d’influencer fortement l’économie nationale.
De la perspective d’un observateur économique, cette information met en lumière l’impact durable et l’influence grandissante des activités financières non bancaires dans l’économie luxembourgeoise. Cela souligne également l’importance pour les autorités de maintenir une supervision rigoureuse afin de garantir la stabilité financière du pays. Le Luxembourg, en tant que centre financier international, doit continuer à évoluer et à adapter ses régulations pour faire face aux défis futurs de ce secteur en pleine expansion.