Dans le cadre du débat budgétaire, les élus municipaux ont abordé avec une attention particulière la situation financière de Ciboure. Les discussions lors de la réunion du Conseil municipal, tenue le 13 février, ont mis en lumière des préoccupations persistantes concernant l'endettement de la ville. Les représentants de l'opposition ont souligné que certains indicateurs financiers, comme le ratio de la dette par habitant et le niveau des impôts locaux, suggèrent une détérioration de la stabilité économique locale. Selon leurs observations, ces chiffres ne semblent pas refléter une gestion optimale des finances publiques.
En réponse à ces critiques, le maire Eneko Aldana-Douat a défendu vigoureusement les actions menées par son administration. Il a rappelé que depuis son arrivée, la municipalité a engagé un plan d'investissement ambitieux d'un montant total de 10 millions d'euros sur le mandat. Cette stratégie inclut divers projets structurants pour la ville, tels que l'aménagement de la plaine des sports, la végétalisation de l'avenue Jean-Jaurès, ainsi que des initiatives écologiques comme l'installation de panneaux solaires. Par ailleurs, l'équipe municipale met l'accent sur une gestion rigoureuse des dépenses, cherchant à réaliser des économies substantielles dans plusieurs domaines clés, notamment grâce à la modernisation des infrastructures et à l'optimisation des ressources humaines.
L'engagement en faveur d'une gestion transparente et responsable des finances publiques est essentiel pour assurer un avenir prospère et durable à Ciboure. Les efforts entrepris par la municipalité visent non seulement à améliorer la qualité de vie des résidents actuels mais aussi à préparer la ville aux défis futurs. Grâce à une approche proactive et innovante, Ciboure se positionne comme un exemple de bonne gouvernance locale, où l'intérêt général prime sur les considérations partisanes.